Depuis l’aéroport, le sud de Bali n’est qu’à une petite heure de route (en fonction des embouteillages) et permet de découvrir l’île et la culture balinaise, tout en gardant un certain niveau de confort et des repères occidentaux.
La première chose qui m’a surprise en arrivant à Bali, ce sont les odeurs. Bali sent bon. Encens, fleurs, linge propre… Au détour des rues, on se surprend à renifler en souriant, ce qui change d’autres villes asiatiques ! Les petites offrandes déposées un peu partout devant les maisons, les temples, les échoppes, sur les trottoirs, reflètent une spiritualité ambiante qui est omniprésente à Bali.




Le village de Seminyak est le quartier hipster du sud, avec d’agréables petites ruelles bordées de cafés, restaurants, boutiques de fringues branchées, de décoration…
La plage de Seminyak est agréable, mais plutôt réservé aux surfers qu’à la baignade. On y trouve de sympathiques bars de plage, comme La Plancha, très populaire au coucher du soleil ! Installés sur de gros poufs colorés, on y déguste une Bintang (la bière locale) fraiche et d’excellents tapas en profitant du spectacle des familles et des amoureux qui se baladent et s’amusent sur la plage à la lueur des derniers rayons du soleil.


Une excursion agréable à faire en scooter depuis Seminyak est de se rendre à la pointe sud de l’île, Ulu Watu, en passant par la baie de Jimbaran, connue pour son village de pêcheurs (y aller de préférence le matin).



L’endroit que j’ai préféré au sud de Bali est Pura Luhu, l’impressionnant temple d’Ulu Watu situé sur une falaise à pic, très ombragé et habité par de nombreux singes qui s’amusent à voler les lunettes et casquettes des visiteurs…
